C'est le gouverneur général du Congo belge qui fit appel aux jésuites pour instruire et éduquer les jeunes européens en nombre grandissant à Léopoldville.

Le 4 octobre 1937, le collège ouvre ses portes sous la dénomination « Collège Saint-Albert », nom choisi pour faire honneur à saint Albert de Louvain, saint patron du souverain belge de ce temps là, Albert 1er. Il occupe alors des locaux prêtés par les Dames du Sacré-cœur. Trois jésuites (deux prêtres et un scolastique) et un laïc prennent en main les trois premières classes ainsi que toutes les activités scolaires et parascolaires.

L’éducation jésuite cherche à porter le témoignage de Jésus-Christ dans une approche respectueuse de la conscience des personnes et dans un témoignage simple et joyeux. « La formation religieuse et spirituelle fait intégralement partie de l’éducation jésuite ; elle ne s’ajoute pas au processus éducatif et n’en est pas distincte. » Elle cherche à cultiver la profondeur d’analyse nécessaire pour aborder les questions du monde avec finesse. Elle cherche à promouvoir une culture du dialogue pour favoriser un travail de réconciliation entre les personnes et entre les cultures. Elle est au service de la paix.

L’éducation jésuite cherche à porter le témoignage de Jésus-Christ dans une approche respectueuse de la conscience des personnes et dans un témoignage simple et joyeux. « La formation religieuse et spirituelle fait intégralement partie de l’éducation jésuite ; elle ne s’ajoute pas au processus éducatif et n’en est pas distincte. » Elle cherche à cultiver la profondeur d’analyse nécessaire pour aborder les questions du monde avec finesse. Elle cherche à promouvoir une culture du dialogue pour favoriser un travail de réconciliation entre les personnes et entre les cultures. Elle est au service de la paix.